Notre activité émotionnelle reflète le rapport entre nos besoins et notre réalité. Elle se régule par notre façon de gérer ce rapport, c'est-à-dire par notre façon d'interagir avec la réalité dans le but de satisfaire nos besoins. Son intensité dépend de l’importance accordée à nos besoins, de la façon dont la réalité s'en éloigne et des moyens dont nous disposons pour réduire cet écart.
Lorsque nous sommes incapables de réduire cet écart en gérant la situation dans ce rapport lui-même, nous optons souvent pour le contrôle et la répression de l'émotion elle-même en-tant-qu'effet de ce rapport ingérable. Le fait de réprimer nos émotions a pour principale conséquence de nous couper de notre sensibilité. Nous ne ressentons peut-être plus la souffrance qu'elle nous procure, mais nous ne ressentons plus le plaisir non plus. Cela dépend des personnes mais nous pouvons nous couper d'une émotion en particulier ou de nos émotions en générale. La répression d'une émotion peut parfois engendrer la répression d'autres émotions. Pour donner une image c'est comme si parce que vous en aviez marre d'avoir peur vous coupiez la réception du canal émotionnel de votre votre conscience. Cette forme d'inhibition provoquant un clivage en soi (dissociation) a bien entendu des répercussions telles que la dépersonnalisation, l'insensibilité et/ou la somatisation. Que nous ne soyons pas conscient de nos émotions ne signifie pas qu'elles ne s'activent pas lorsque nous vivons des choses qui sont en déssacords avec nos besoins et qu'elles ne s'expriment pas d'une manière ou d'une autre dans notre corps ou sur notre comportement. Lorsqu'un problème physique, psychique ou comportemental semble survenir sans raison apparente, de nulle part, il est utile de suspecter la présence conjointe de deux facteurs : un événement émotionnellement perturbant et un mécanisme de contrôle de l'émotion activée par cet événement.
Lorsque nous sommes incapables de réduire cet écart en gérant la situation dans ce rapport lui-même, nous optons souvent pour le contrôle et la répression de l'émotion elle-même en-tant-qu'effet de ce rapport ingérable. Le fait de réprimer nos émotions a pour principale conséquence de nous couper de notre sensibilité. Nous ne ressentons peut-être plus la souffrance qu'elle nous procure, mais nous ne ressentons plus le plaisir non plus. Cela dépend des personnes mais nous pouvons nous couper d'une émotion en particulier ou de nos émotions en générale. La répression d'une émotion peut parfois engendrer la répression d'autres émotions. Pour donner une image c'est comme si parce que vous en aviez marre d'avoir peur vous coupiez la réception du canal émotionnel de votre votre conscience. Cette forme d'inhibition provoquant un clivage en soi (dissociation) a bien entendu des répercussions telles que la dépersonnalisation, l'insensibilité et/ou la somatisation. Que nous ne soyons pas conscient de nos émotions ne signifie pas qu'elles ne s'activent pas lorsque nous vivons des choses qui sont en déssacords avec nos besoins et qu'elles ne s'expriment pas d'une manière ou d'une autre dans notre corps ou sur notre comportement. Lorsqu'un problème physique, psychique ou comportemental semble survenir sans raison apparente, de nulle part, il est utile de suspecter la présence conjointe de deux facteurs : un événement émotionnellement perturbant et un mécanisme de contrôle de l'émotion activée par cet événement.
Voici une liste de questions permettant d'identifier l'éventuelle présence d'un mécanisme de répression émotionnel. L'idée est bien entendu d'appliquer l'EFT aux réponses que vous trouverez en vous à ces question. Pour cela verbaliser votre expérience intérieure dans le contexte des ces questions.
Est-ce que je ressens beaucoup d’émotion dans ma vie ?
Quelle émotion semble totalement absente de ma vie ?
Quelle émotion je ne supporte pas de ressentir ?
Pourquoi je ne veux pas ressentir cette émotion ?
Comment le fait de ressentir cette émotion est-il perçu socialement ?
A la suite de quoi ai-je décidé de ne plus ressentir cette émotion ?
Comment je sais que je vais ressentir cette émotion ?
Comment je fais pour éviter de ressentir cette émotion ?
Que m’arriverait-il de pire si je ressentais quand même cette émotion ?
Une "saine" gestion des émotions dans une situation présente et persistante consiste à :
- la reconnaître et l'accueillir dans sa conscience
- identifier le besoin qui en est en partie responsable
- identifier la réalité qui a impacter ce besoin.
- évaluer si notre connaissance de cette réalité est exacte.
- évaluer si l'important accordée au besoin n'est pas surévaluée et si son critère de satisfaction besoin est accessible ou doit-être révisé.
- décider des choses à faire pour satisfaire ce besoin au regard de cette réalité et le faire.
Commentaires
Enregistrer un commentaire